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20 Minutes Caroline Vié
Gareth Edwards, réalisateur de Godzilla (2014) et de Monsters (2010) a choisi de traiter son sujet comme un film de guerre à la fois sale, élégiaque et galvanisant. Il révolutionne la saga en lui appliquant son style guérilla dans des décors crasseux où il est malaisé de survivre.
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Ecran Large Simon Riaux
Rogue One s'impose comme l'opus le plus spectaculaire de la saga, mais également le seul à égaler L'Empire contre-attaque en termes de dramaturgie.
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LCI Jérôme Vermelin
une superproduction à la fois sombre, complexe et spectaculaire…
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Mad Movies Cédric Delelée
Rogue One est bien trop riche pour que justice lui soit rendue en quelques lignes et s'impose comme un space opera épique et crépusculaire unique en son genre.
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Marianne Gabriela Trujillo
Récit d'initiation, space opera et épopée contemporaine, Rogue One annonce probablement la renaissance de Star Wars .
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Positif Hubert Niogret
Gareth Edwards a brillamment tourné ce film qui tient du space opéra et film de guerre, réalisé dans des lieux magnifiques .
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Télé 2 semaines Thomas Colpaert
Une éclatante réussite qui séduira les fans de la première heure comme les novices.
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CNews La Rédaction
Un film fidèle à l’esprit des origines et riche en scènes épiques.
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Filmsactu Henry Swanson
Sans être la claque annoncée, Rogue One est un excellent blockbuster. Le film de Gareth Edwards apporte une vision neuve et plus sombre à la saga de George Lucas. Jamais la Guerre des Etoiles n'aura autant mérité son nom.
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La Voix du Nord Philippe Lagouche
Pur film de guerre, Rogue One – ses familles dévastées, ses héros sacrificiels – macère dans une implacable et inaccoutumée noirceur et renvoie, par son sens de l’hécatombe, à des classiques du genre comme Douze salopards, Sept samouraïs. La saga rebondit. Que la Force soit avec elle !
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Le Figaro Olivier Delcroix
On comprend pourquoi George Lucas a aimé cet épisode sans réserve. L'équipée sauvage de ce commando suicide vaut largement le détour. Certes, on objectera que le film est un peu long à se mettre en place, mais la Force est là, indubitablement.
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Le Journal du Dimanche Stéphanie Belpêche
Malgré des irrégularités dans le rythme, l’émotion l’emporte durant l’affrontement final, particulièrement intense. George Lucas peut profiter de sa retraite dorée, la relève est assurée.
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Le Parisien Renaud Baronian
Avec ce film-dérivé, Gareth Edwards a réussi l’impossible : renouveler la saga « Star Wars » tout en la dynamitant. L’esprit d’origine est respecté - les scènes de combat, décoiffantes, rappellent celles, mythiques, des épisodes IV et V, les favoris des fans, et Dark Vador opère un retour fracassant.
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Le Point Philippe Guedj
D'une beauté folle, le film de Gareth Edwards se révèle être un brûlot guerrier cohérent jusqu'au final. Un choc inattendu qui redonne espoir dans la saga.
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Les Fiches du Cinéma Michael Ghennam
Le premier spin-off “Star Wars” est un film de guerre dense et dénué de cynisme, qui compense des personnages superficiels par une écriture puissante et implacable.
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Les Inrockuptibles Alexandre Büyükodabas
Brillamment mis en scène par Gareth Edwards, le premier spin-off de la saga “Star Wars” réussit à trouver un équilibre périlleux entre le respect de l’ADN de l’univers créé par George Lucas et une réinvention moderne de ses formes et motifs. En creusant une veine sombre et étonnamment violente, cette variation autour d’un imaginaire commun s’affirme comme une oeuvre à part entière.
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Ouest France Gilles Kerdreux
la vraie réussite de ce Rogue One est qu’il s’agit d’un film à part entière, avec sa propre esthétique digne, régulièrement, d’un film de guerre réaliste n’ayant pas peur de la rouille et de la saleté.
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Public Florence Roman
Beaucoup plus charismatique que la trop fade Daisy Ridley, Felicity Jones relève le gant et incarne la rebelle garçonne avec autorité et panache, bien entourée par un casting cinq étoiles.
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aVoir-aLire.com Nicolas Lochon
Le morceau de bravoure ultime, au-delà de sa réjouissante générosité, fait se côtoyer l’espoir et le funeste, dans un moment réellement touchant. La scène éclipserait presque les égarements d’un épisode, certes imparfait, mais largement plus attachant que les épisodes 1, 2et 3 réunis !
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Chronic'art.com Louis Blanchot
Le principal souci de Rogue One tient justement dans sa façon de lutter de toutes ses forces contre son statut d’oeuvre sauvage et collective, en improvisant pendant plus d’une heure une sorte de modèle réduit de la saga.
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Elle Khadija Moussou
Soyons honnêtes : il y a du bon et du moins bon dans Rogue One : a Star Wars story. Très attendu par les fans de la saga, le film signé Gareth Edwards est tout de même réussi. Seulement, force est d’avouer que l’histoire peine à s’installer. Après tout, la fin est connue de tous...
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GQ Toma Clarac
Loin des éclats mélo de la saga familiale des Skywalker, Rogue One devient dans sa deuxième moitié un pur film de genre. Difficile dans ce contexte d’échapper à la surenchère et à la confusion. Mais qu’importe, d’autant que quelques plans somptueux viennent rehausser de manière fulgurante l’ensemble .
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Le Dauphiné Libéré Jean Serroy
Tous les ingrédients y sont, y compris Dark Vador, pour ce qui se veut être surtout un vrai film d’action. Mission accomplie !
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Paris Match Yannick Vely
un divertissement plus adulte que les autres films de la saga. Une vraie claque visuelle à laquelle il manque juste un peu de la magie «Star Wars».
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Sud Ouest Sophie Avon
Le film de Gareth Edwards a bien du mérite de parvenir à cet assemblage qui se veut garant d’un esprit originel tout en inventant des personnages nouveaux. Il le paie en complications inutiles, mais il se rachète avec sa façon spectaculaire de recycler les tragédies de l’histoire contemporaine – qui ne manquent pas.
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Télé 7 Jours Julien Barcilon
Reste un film de guerre sombre et assez violent, servi par une troupe solide à défaut d'être charismatique.
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VSD Bernard Achour
C’est le paradoxe du spectacle : somptueusement efficace quand il se réfère directement à la mythologie dont il est l’héritier (jamais Dark Vador n’a eu droit à une apparition aussi grandiose qu’ici), il se montre bizarrement incapable d’imposer ses nouveaux personnages, humains et robots confondus.
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Libération Olivier Lamm
Ce manège immersif assez plaisant - réellement efficace plutôt que fétichiste - est malheureusement plombé par une débauche délirante de clins d’œil inutiles et une intrigue qui mime la complexité .
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Cahiers du Cinéma Vincent Malausa
Une petite space opérette dénuée de toute émotion et réduite à sa plus sommaire expression – avec en guise d’apothéose burlesque un coucou tardif de Dark Vador digne du Star Crash de Luigi Cozzi.
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Le Monde Thomas Sotinel
Les concepteurs du film ont forcé la dose d’ingrédients propres à induire la dépression chez le spectateur.
J'avais beaucoup de réserve sur ce film, déjà rien que sur la réalisateur qui nous avait livré une version de Godzilla très moyenne. J'avais des doutes sur le scénario et sur l'impact que pourrait avoir le film. Le film met un petit moment à démarrer et le début est assez déroutant car pas mal de codes établis par George Lucas sont changés. Les 15 premières minutes sont donc assez more
Je suis allé voir ce film dès le 1er jour pour éviter de me laisser influencer par les critiques. Et je suis très content d'avoir vu ce nouvel opus. J'avoue que j'étais plutôt méfiant par rapport à ce spin off. Et si le scénario était aussi pauvre que l'épisode 7 ... Et si cet escadron ressemblait à Suicide Squad ... Mais en fait, pas du tout. Les héros ne sont pas parfaits, les more
Il y a un an, la saga Star Wars revenait sur nos écrans avec un nouvel épisode très décevant scénaristiquement parlant, la réalisation et les effets spéciaux étant en grande partie au rendez-vous. "Rogue One" est le premier spin of à sortir sur l'univers de la franchise, ce fameux univers qu'on nous sur-vend depuis des décennies. Et bien ENFIN on n'est pas déçu ! L'univers est bien more
Attention... chef d'œuvre. Film monstrueux ! Enfin un scénario sombre et des effets spéciaux hallucinant. On retrouve, je trouve, l'esprit des anciens épisodes. Si Georges Lucas l'avait réalisé... il n'aurait pas fait mieux je pense. J'ai adoré. La 3D apporte aussi un petit quelque chose même si je n'en suis pas fan. Et merci pour cette séquence finale. Que la Force soit avec vous!
Quelle réussite, j'avoue avoir mis un peu de temps à rentrer dedans. Passée la première demi-heure, la montée de l'intrigue, des personnages ordinaires mais malgré tout à leur apogée, cet opus qui fait admirablement le lien avec le IV de 1977 est aussi sombre qu'effroyable. Un ton surprenant pour un film produit pas Disney. Visuellement magnifique, un peu déçu par la bande son et more
Situé entre les épisodes III et IV de la saga Star Wars, le film nous entraîne aux côtés d’individus ordinaires qui, pour rester fidèles à leurs valeurs, vont tenter l’impossible au péril de leur vie. Ils n’avaient pas prévu de devenir des héros, mais dans une époque de plus en plus sombre, ils vont devoir dérober les plans de l’Étoile de la Mort, l’arme de destruction more
Très bonne surprise suite à l énorme déception du 7. Ce nouvel opus reste fidèle à l univers Star Wars et est genial tout simplement car l histoire est très bien ficelée et logique avec le 4.
Incroyable! Ils ont osé prendre des risques!! De l'audace dans l'écriture, un excellent scénario avec enfin de l'émotion (je pense ici au sort du groupe de Rogues), pas de fan service gratuit et idiot visant à vendre peluches et jouets, un évitement constant des clichés habituels de ce genre de films (romances et héroïsme facile), des acteurs tous parfaits, une technique extraordinaire more
bluffant, Genialissime cet épisode 3,5 de la saga est une réussite grandiose ! chapeau bas aux genis qui ont rescusite le Grand Moff Tarkin, 22 ans après sa mort pour lui rendre son rôle! cet épisode, dont le tragique triomphe a chaque étape nous rappelle que star Wars ce n'est pas que la lutte du bien contre le mail mais également une quête insatiable envers sa propre identité.
Dommage qu'on ne puisse pas mettre 10 étoiles sur l'appli d'Allocine car ce film les mérite amplement! L'histoire de Rogue One s'intègre parfaitement entre les épisodes III et IV: les clins d'oeil aux deux opus sont discrets mais bien présents. Les combats spatiaux ou sur terre, à coups de blasters, sont d'une rare intensité. Les décors sont de toute beauté, surtout les plages de Scarif, more
Rogue One conclut cette année en apothéose. Qu'importe l'absence de générique défilant, on est face à un vrai Star Wars qui n'a rien à envier aux 6 premiers films, et qui écrase Star Wars 7 de par sa qualité visuelle, scenaristique et son audace ! La première scène ouvre bien le film, on y découvre Gallen Erso, le père de l'héroïne, et l'intimidant Krennic. C'est ici que spoiler: more
Gareth Edwards montre à JJ Abrams comment il faut faire ! Un des meilleurs épisodes de la saga pour moi (avec l'Empire contre attaque) quel kiff ! Le casting est monstrueux (Mikkelsen, Whitaker, Donnie Yen (Ip Man !!!), le scénario solide et la réalisation est superbe. Les courtes apparitions de Vador sont hyper intenses et l'ambiance est sombre et sérieuse, bien loin de celle de Disney !
Enfin ! Rogue One amène, pour moi, la franchise Star Wars à son paroxysme. Le scénario est cohérent, le jeu d'acteur est convaincant, les personnages sont intéressants et plutôt bien travaillés quant aux effets spéciaux c'est du très lourd. Nous avons l'émotion et l'intensité de l'ancienne trilogie couplées à la nervosité et aux effets spéciaux de la nouvelle trilogie. Attention more
« Rogue One », premier spin-off de la franchise Star Wars et réalisé par Gareth Edwards, signe un magnifique retour en force ! C’est ainsi un nouvel Espoir pour les studios Disney. Le film est avant tout un grand film de guerre intergalactique, visuellement extraordinaire, qui ne tombe pas dans la facilité scénaristique, mais aussi qui propose des thématiques bien plus matures et more
Quelle immense surprise que ce Rogue One ! Tellement plus qu'un simple objet visant à faire du profit. Je l'affirme d'autant plus que j'étais sceptique face à ce projet et que j'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à ce film mais au vu des échos positifs, j'ai décidé de tenter. On part toujours dans une galaxie très, très lointaine mais on ne regarde pas au même endroit que more